maintien des droits après 62 ans vs rachat de traimestres

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  Zen Maritime Le 16-09-2022 à 13:46

    + 1000 messages

  
  

  Bonjour,
  
  Si je peux me permettre je vous dis comme je pense qu'à 56 ans vous ne pouvez pas préjuger de ce qui sortira de la prochaine réforme de l'assurance chômage, non plus que d'une réforme des retraites.
  
  Déjà, en l'état actuel du règlement de l'assurance chômage, une perte involontaire d'emploi, ou assimilée à involontaire / rupture conventionnelle, vous procurerait au maximum 3 ans de droits, disons jusqu'à 59-60 ans, ce qui ne vous place absolument pas dans les conditions d'un maintien de droits au-delà.
  
  Pour que le Pôle Emploi étudie l'éventualité d'un maintien de droits il faut avoir atteint au moins 62 ans (âge minimum légal pour liquider sa retraite), ne pas avoir le compte de trimestres pour le taux plein, mais avoir au moins 100 trimestres validés, être en cours d'indemnisation chômage depuis au moins 365 jours, plus d'autres conditions tenant à la durée d'affiliation à l'assurance chômage avant la perte d'emploi.
  
  Or d'ici que vous atteigniez 62 ans l'âge minimum légal sera peut-être reculé pour votre génération à 63 ans ou plus, et le règlement de l'assurance chômage n'aura pas manqué de s'aligner. Sans même parler du fait, à plusieurs reprises déjà lors de conventions Unédic antérieures, qu'il y a eu des discussions paritaires sur le maintien du maintien.
  
  Avec un nombre croissant de ruptures conventionnelles en fin de carrière, et un nombre croissant de sexagénaires visant le maintien au chômage indemnisé pour atteindre le taux plein, cela devient vraisemblablement un sujet.
  
  cordialement
  zen maritime 

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  Membre

  ojov1 Le 19-09-2022 à 08:37

  zen maritime, je vous remercie de vos conseils mais vous ne répondez pas à ma question.
  
  Si l'un d'entre vous connait la réponse, je suis preneur ! merci
  
  

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  Moderateur

  Zen Maritime Le 19-09-2022 à 09:47

  Vous demandiez de vous indiquer en quoi votre raisonnement pourrait ne pas être juste.
  
  Je vous ai répondu que vous ne disposez pas des bases d'un raisonnement, c'est comme si vous demandiez de valider ou d'infirmer la fiction d'un scénario d'anticipation
  
  D'ailleurs, si vous vous relisez : "il me semble que j'ai intérêt à bénéficier du maintien des droits aussi longtemps que possible" supposons qu'advienne cette éventualité d'un maintien de droits, vous conviendrez que l'on ne peut rien mettre en équation avec un paramètre aussi flou que "aussi longtemps que possible"
  
  Dans votre esprit "aussi longtemps que possible" équivaudrait à la validation de combien de trimestres ? Et comment voulez-vous faire la balance avec des trimestres que vous rachèteriez, ce rachat porterait-il sur le taux, sur le taux et la durée, quelle durée..?
  
  Si vous avez réponse à ces questions, et à ce que seront demain les réglements de l'assurance chômage et de l'assurance vieillesse, je suis preneur.
  
  cordialement
  zen maritime 

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• Visiteur

  WalkingFred Le 19-09-2022 à 18:43

    + 350 messages

  
  

  Je m'interroge sur "j'ai la possibilité de racheter des trimestres au titre de mes années de service militaire long"... De quoi parlez-vous ? Pourquoi racheter ce qui est validé gratuitement ? Etes-vous sûr d'avoir pris les bons renseignements ? Qu'appelez-vous un service militaire long ? Un engagement ? Alors ce n'est pas la définition de "service militaire long".

  Que ce soit un vrai service militaire long ou un engagement n'ayant pas donné lieu à 15 ans d'armée, vous n'avez pas à le racheter puisque c'est validé gratuitement si c'est un service militaire. Et si c'est un engagement de moins de 15 ans, les cotisations seront reversées au Régime Général, ce qui se convertira en trimestres. La démarche du reversement vous incombe, la validation du service militaire se fait lors d'une simple régularisation de carrière auprès de la caisse de rertaite.

  Pourquoi racheter ce qui est validable de droit ? Je ne comprends pas cette interrogation...

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