Le salarié est libre de refuser le congé de mobilité et l'employeur ne peut pas le sanctionner.
Si le salarié ne souhaite pas adhérer au congé de mobilité, il a droit au congé de reclassement.
En revanche, concernant le salarié qui accepte la proposition de congé de mobilité, son contrat de travail est rompu d'un commun accord avec son employeur à l'issue du congé.
L'accord du salarié se fait par un écrit à l'employeur selon les conditions de transmission fixées par l'accord collectif.
Dans cette hypothèse l'employeur est libéré de l'obligation de proposer un congé de reclassement.
Ce que pensent nos clients :
Bernard T.
le 19-02-2017
Document bien reçu immédiatement.
ODETTE G.
le 02-06-2015
Je suis satisfaite, toutefois si il avait été précisé les modalités sur la façon de donner le préavis à l'employeur (verbal, écrit..) cela aurait été encore mieux. merci.
Jacques C.
le 25-11-2014
J ai eu la réponse que je souhaitais