Parmi les sanctions fiscales susceptibles de s’appliquer dans le cadre d’une procédure de contrôle figurent :
- l’application d’un intérêt de retard de 0,20 % par mois, qui s’ajoute, sauf exceptions, aux majorations et amendes prononcées à l’encontre du contribuable (1) ;
- la majoration proportionnelle des droits dûs, de 5, 10, 40 ou 80 % selon la nature de la faute commise et les circonstances de fait.
Point important, la loi impose à l’administration fiscale de motiver les décisions qui infligent une sanction fiscale (2).
Lorsqu’un contribuable conteste les pénalités fiscales qui lui sont appliquées, il incombe à l’administration fiscale d’apporter la preuve de sa mauvaise foi ou des manœuvres frauduleuses qui lui sont reprochées (3).
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