En cas d'extrême urgence, s'il n'y a pas de travailleurs disponibles, il est possible de déroger à l'interdiction absolue de faire travailler des jeunes entre minuit et 4 heures du matin pour leur faire effectuer des travaux passagers destinés à prévenir des accidents imminents ou à réparer les conséquences d'accidents survenus.
Dans des circonstances exceptionnelles, la loi fait preuve de souplesse à l'égard du travail des jeunes la nuit, une telle dérogation se justifie par un objectif de protection de la santé d'autres salariés ou du public en présence d'un danger immédiat.
Dans une telle situation, un repos compensateur d'une durée équivalente doit alors leur être accordé dans un délai de 3 semaines (1).
Ce que pensent nos clients :
Christophe S.
le 12-06-2025
Bien dans sa globalité, manques des exemples plus parlant (je sais c'est pas facile)