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Actualité :

Les fraudes au virement de salaire se multiplient selon la Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL). En tant qu'employeur, vous devez prévenir ce type de cyberattaque, et réagir conformément aux recommandations de la CNIL en cas d'incident. Pour tout comprendre de vos obligations en la matière, consultez notre dossier spécial sur le RGPD !

Quelles sont les mentions obligatoires de la fiche de paie en France ?

Liste des 16 mentions obligatoires (net imposable, identités des parties, total versé par l'employeur, etc.)

Les dispositions légales relatives au bulletin de paie s'appliquent à toutes les personnes salariées ou travaillant, à quelque titre ou en quelque lieu que ce soit, pour un ou plusieurs employeurs et quels que soient le montant et la nature de leurs rémunérations, la forme, ou la validité de leur contrat de travail.

En tant qu'employeur, vous avez l'obligation de faire apparaître sur la fiche de paie les mentions suivantes (1) :

  • nom et adresse de l'employeur + désignation de l'établissement dont dépend le salarié (s'il y a plusieurs établissements) ;
  • numéro de la nomenclature d'activité caractérisant l'activité de l'établissement d'emploi (code APE = code NAF) ainsi que, pour les employeurs inscrits au répertoire national des entreprises et des établissements, le numéro d'inscription de l'employeur (numéro SIRET) ;
  • intitulé de la convention collective de branche applicable au salarié ou, à défaut, référence au Code du travail pour les dispositions relatives à la durée des congés payés et à la durée de préavis en cas de cessation de la relation de travail ;
  • nom et emploi du salarié, position dans la classification conventionnelle ;
  • période et nombre d'heures de travail correspondant au salaire.
    Il convient de distinguer, le cas échéant, les heures payées au taux normal et celles qui comportent une majoration pour heures supplémentaires ou pour toute autre cause (+ indiquer les taux de majoration).
    Il faut également indiquer les éléments détaillés sur les forfaits en heures ou en jours et sur les bases de calculs du salaire lorsqu'elles sont différentes de la durée du travail ;
  • nature et montant des accessoires de salaire soumis à cotisations salariales et patronales ;
  • montant de la rémunération brute du salarié ;
  • montant et assiette des cotisations et contributions d'origine légale et conventionnelle à la charge de l'employeur et du salarié avant déduction des exonérations et exemptions ainsi que, les taux de cotisations et contributions d'origine légale et conventionnelle à la charge du salarié + nature et montant des versements et retenues autres que ceux déjà mentionnés et effectués sur la période, notamment au titre de la prise en charge des frais de transport public ou de frais de transports personnels ;
  • assiette, taux et montant du prélèvement à la source ainsi que la somme qui aurait été versée au salarié en l'absence de cette retenue à la source (donc montant avant impôt) ;
  • montant de la somme effectivement reçue par le salarié (argent réellement versé au salarié) ;
  • date de paiement de cette somme versée au salarié ;
  • dates de congé et montant de l'indemnité correspondante, lorsqu'une période de congé annuel est comprise dans la période de paie prise en compte par la fiche de paie ;
  • montant total des exonérations et exemptions de cotisations et contributions sociales ;
  • montant total versé par l'employeur, c'est-à-dire la somme de la rémunération brute versée au salarié et des cotisations et contributions à la charge de l'employeur, en déduisant tout de même les exonérations et exemptions de cotisations et contributions ;
  • mention de la rubrique dédiée au bulletin de paie sur le portail www.service-public.fr ;
  • en cas d'activité partielle : nombre d'heures indemnisées, taux appliqué pour le calcul de l'indemnité de chômage partiel et sommes versées au salarié sur la période prise en compte par la fiche de paie.

🔍 Bon à savoir : le bulletin de paie doit faire apparaître clairement une mention qui incite le salarié à le conserver sans limitation de durée.

Il est important de faire apparaître la prime de partage de la valeur (PPV), sur le bulletin du mois de versement et sur une ligne distincte, en raison des exonérations spécifiques qui lui sont liées (2).

📄 Jurisprudence : la Cour de cassation a récemment affirmé que la fourniture, par l'employeur, d'un logement constituait un avantage en nature qu'il y avait lieu d'inclure dans le montant de la rémunération du salarié et qui devait être indiqué sur le bulletin de paie, pour pouvoir être soumis à cotisations sociales (3). À défaut, il s'agit de travail dissimulé.

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Depuis le 1er juillet 2023, le bulletin de paie doit faire apparaître le montant net social 

Depuis le 1er juillet 2023, il faut impérativement faire apparaître sur la fiche de paie le montant net social (4).

👉 Le montant net social désigne le montant total des sommes, avantages et accessoires en nature auxquels on retire les prélèvements sociaux obligatoires. Autrement dit, il s'agit du revenu net, après déductions des charges sociales.

📑  À lire aussi : Comment faire vérifier ma fiche de paie ? 

Depuis le 1er janvier 2024, l'employeur doit faire la déclaration du montant net social (DSN)

De plus, depuis le 1er janvier 2024, l'employeur doit déclarer le "montant net social" de chaque salarié dans la déclaration sociale nominative (DSN) (5).

Tous les bulletins de salaire doivent renseigner la mention à déclarer. Le bon suivi de la formalité donne lieu à un contrôle de cohérence

Pour plus d’informations, les employeurs peuvent consulter le site net-entreprises.fr,  contacter leur Urssaf ou leur éditeur de logiciel de paie.

Quelles sont les mentions interdites sur une fiche de paie ? Exemples

Il est formellement interdit de mentionner, sur le bulletin de paie (6) :

  • l'exercice du droit de grève ;
  • l'activité de représentation des salariés (exercice des mandats représentatifs…).

La grève

Lors de l'exercice du droit de grève, le salarié n'est pas payé. Néanmoins, les heures de grèves non payées doivent être indiquées uniquement comme "absences non rémunérées".

La mention selon laquelle le salarié a exercé son droit de grève, ne peut pas être mentionnée.

L'activité représentative

En cas d'activité représentative, la nature et le montant de la rémunération afférente doivent figurer sur une annexe de la fiche de paie.

S'il s'agit d'heures de délégation des représentants du personnel prises sur le temps de travail, elles sont incluses dans le temps de travail classique.

Quelles sont les sanctions en cas d'absence de certaines mentions obligatoires ou d'erreur sur les montants de la fiche de paie ?

L'employeur doit veiller à remettre au salarié un bulletin de paie comportant toutes les mentions requises par la loi.

450 euros d'amendeEn cas d'omission sur le bulletin de paie (personne physique)

En cas d'absence des mentions obligatoires sur les fiches de paie, l'employeur encourt l'amende prévue pour les contraventions de 3ème classe, soit 450 euros maximum pour les personnes physiques et 2.250 euros pour les personnes morales par bulletin de paie irrégulier (7).

En cas d'erreur sur la fiche de paie, et donc sur le montant versé au salarié, ce dernier peut vous demander de régulariser la situation. Il peut également saisir le Conseil de prud'hommes dans un délai de 3 ans, pour demander un rappel de salaire et, en cas de préjudice, des dommages-intérêts.

🔍 Bon à savoir : en tant qu'employeur, vous avez également 3 ans pour demander le remboursement d'un trop-perçu issu d'une erreur sur le bulletin de paie.

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Sous quelle forme devez-vous rédiger les bulletins de salaire des salariés ?

Fiche de paie sous format papier ou en ligne/numérique/dématérialisée ?

Les fiches de paie peuvent être rédigées et transmis en format papier ou en format numérique. Dans tous les cas, il s'agit d'un document écrit.

Attention : l'employeur doit respecter les dispositions légales lorsqu'il décide de procéder à la mise en place de la remise du bulletin de paie sous forme électronique.

Utilisez les modèles à votre disposition !

Certaines mentions de la fiche de paie doivent être libellées (= rédigées spécifiquement), ordonnées et, pour certaines, regroupées, conformément à un modèle défini par arrêté. Ceci concerne notamment les mentions relatives aux cotisations sociales, aux exonérations et au prélèvement à la source.

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Ainsi, il faut respecter le modèle prévu par "l'arrêté du 25 février 2016 fixant les libellés, l'ordre et le regroupement des informations figurant sur le bulletin de paie" (8). Cet arrêté est régulièrement modifié pour simplifier ou adapter l'organisation et les mentions du bulletin de salaire.

De ce fait, depuis le 30 juin 2023 il ne faut plus suivre le modèle modifié par l'arrêté du 23 décembre 2021 (9). En effet, depuis le 1er juillet 2023, l'employeur doit respecter le modèle prévu par l'arrêté du 31 janvier 2023 (10). Le modèle se trouve à l'article 1 de cet arrêté, mais il est possible d'utiliser le modèle prévu à l'article 2 jusqu'au 1er janvier 2027 (11).

Si toutes les informations du bulletin de salaire ne tiennent pas sur une seule page, il est tout à fait possible de le rédiger sur plusieurs pages ou de le faire recto/verso.

Pouvez-vous externaliser la gestion des bulletins de paie ?

Oui, il est tout à fait possible de déléguer la gestion de la paie et la réalisation des bulletins de salaire à un organisme externe.

En plus de gagner du temps, l'employeur bénéficie aussi d'une certaine sécurité, en évitant au maximum les erreurs sur un sujet aussi complexe que la gestion de la paie.

Si l'employeur décide d'externaliser la gestion de sa paie, il lui suffit de fournir les éléments nécessaires à cette gestion, puis de laisser agir l'entreprise externe. Cette dernière se chargera de tous les calculs, des mentions obligatoires, du respect des évolutions législatives et de la transmission des bulletins aux salariés.

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Vous avez une question sur la gestion de la paie ?

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Quand et comment transmettre les fiches de paie aux salariés ?

Moment de la remise du bulletin de paie

Les bulletins de paie sont remis, à chaque salarié, au moment du paiement des salaires.

Peut-on passer par une version électronique, par un service en ligne ?

Oui, ll est possible de remettre les bulletins de paie :

  • en main propre ;
  • par envoi postal ;
  • de manière électronique, sauf si le salarié s'y oppose.

La transmission des bulletins par voie électronique est la règle. Ceci signifie qu'il s'agit du mode normal de remise des bulletins, sauf si votre salarié s'y oppose ou si vous choisissez un autre mode de transmission.

Si vous passez au format électronique, vous devez informer vos salariés, 1 mois avant le premier envoi électronique, de leur possibilité de s'y opposer. Vous devez les informer par tout moyen conférant date certaine.

En cas d'embauche, vous devez informer le salarié de sa possibilité de s'opposer à l'envoi électronique.

🔍 Bon à savoir : le salarié peut également décider de s'opposer à tout moment à cette transmission électronique. Il doit le faire par tout moyen conférant date certaine, et vous devez accéder à sa demande au plus tard, 3 mois après (12).

Quelles sont les obligations légales de l'employeur en matière de bulletin de salaire électronique ?

Si l'envoi électronique est choisi par l'employeur, celui-ci doit respecter certaines règles.

50 ans ou 75 ans du salariéDurée de disponibilité du bulletin de paie électronique

En effet, la remise du bulletin de paie par voie électronique doit garantir la disponibilité des bulletins pour les salariés, pendant une durée de 50 ans ou jusqu'au 75 ans du salarié  (13).

Sauf opposition du salarié, l'employeur peut procéder à la remise du bulletin de paie sous forme électronique, dans des conditions de nature à garantir :

  • l'intégrité des données ;
  • leur disponibilité et l'accessibilité soit pendant une durée de 50 ans, soit jusqu'à ce que le salarié ait atteint l'âge de mise à la retraite de 69 ans, augmenté de 6 ans (donc 75 ans) ;
  • et la confidentialité des données.

Conservation de la fiche de paie par l'employeur : combien de temps ?

L'employeur doit conserver un double du bulletin de paie pendant au moins 5 ans.

L'accès aux bulletins électroniques doit permettre aux salariés de les récupérer en intégralité à tout moment, sans manipulation complexe ou répétitive, et dans un format électronique structuré et couramment utilisé (13).

🔍 Bon à savoir : si votre activité cesse et que vous gérez vous-même la conservation des bulletins de paie de votre entreprise (pendant 50 ans ou jusqu'aux 75 ans du salarié), vous devez informer vos salariés au moins 3 mois avant la date de fermeture du service. Vous devez leur indiquer qu'ils doivent récupérer leurs bulletins de paie stockés, avant la fermeture du service. Il en va de même s'il s'agit de la fermeture du prestataire qui gère cette conservation.

À quels salariés l'employeur doit-il fournir un bulletin de salaire ?

L'employeur doit transmettre un bulletin de paie à tous ses salariés, peu importe :

  • le montant de la rémunération ;
  • la nature de la rémunération ;
  • la forme du contrat de travail (CDD, CDI...) ;
  • la validité du contrat de travail ;
  • la durée du travail (temps partiel, temps complet...).

📑 À lire aussi : Comment fixer la rémunération de votre salarié : paiement, salaire minimum, SMIC, primes...

Quelles sont les annexes obligatoires au bulletin de paie ?

Doivent notamment être annexés au bulletin de paie :

  • le nombre d'heures de repos compensateur de remplacement et de contrepartie obligatoire en repos porté au crédit (annexé au bulletin de paie sauf accord collectif contraire). Lorsque le nombre d'heures atteint 7 heures, il faut mentionner l'ouverture du droit à repos et le délai maximum de 2 mois pour le prendre (14) ;
  • pour les salariés d'un atelier, d'un service ou d'une équipe qui ne travaillent pas selon l'horaire collectif affiché dans l'entreprise, il est nécessaire d'annexer, chaque mois au bulletin de paie, les informations vues dans le point précédent, mais également :
    - le cumul des heures supplémentaires accomplies depuis le début de l'année ;
    - le nombre d'heures de repos compensateur de remplacement acquis ;
    - le nombre d'heures de repos compensateur effectivement prises au cours du mois ;
    - le nombre de jours de repos effectivement pris au cours du mois, dès lors qu'un dispositif de réduction du temps de travail par attribution de journées ou de demi-journées de repos s'applique dans l'entreprise ou l'établissement (15).
  • à la fin de la période de référence (ou en cas de départ du salarié en cours de période), dans le cadre d'un aménagement du temps de travail sur une période supérieure à la semaine, le total des heures de travail accomplies depuis le début de la période de référence doit être annexé au dernier bulletin de salaire de cette période (16) ;
  • la nature et le montant de la rémunération de l'activité de représentation (6) ;
  • les mentions et montants attribués à un salarié en application de l'accord d'intéressement et ceux attribués en application d'un accord de participation (17).

Bulletin de paie original ou duplicata ?

En tant qu'employeur, vous fournissez un bulletin de paie considéré comme original à votre salarié.

Celui-ci peut, en cas de perte de son bulletin de paie, vous demander la délivrance d'un duplicata, mais vous n'avez pas l'obligation de le lui fournir.

Vers un abandon de la réforme de simplification du bulletin de paie ?

Projet initial

Le 23 avril 2024, le ministre de l'Économie d'alors, Bruno le Maire, avait annoncé sa volonté de simplifier le bulletin de paie à partir de 2027.

Cette mesure, intégrée au projet de loi de "simplification de la vie économique", prévoyait de conserver uniquement les éléments composant la rémunération, en occultant le détail des prélèvements sociaux. L'idée était de réduire sensiblement le nombre de lignes afin de simplifier sa rédaction et sa lecture (18).

Opposition des sénateurs

Lors de son premier examen en commission spéciale du Sénat, le projet n'a toutefois pas été retenu par les sénateurs. Selon eux, au lieu de simplifier les tâches administratives de l'employeur, ce "bulletin simplifié" risquait au contraire de les alourdir.

En effet, dans le projet de réforme, l'employeur devait établir :

  • le bulletin de paie simplifié ;
  • et également le document détaillé, afin d'anticiper toute demande des salariés (même si le ministre s'était défendu que ces informations seraient établies par l'Administration et figureraient dans un "Portail national des droits sociaux" développé dans les années à venir).

Ainsi, au lieu d'établir un seul document comme c'est le cas actuellement, la tâche aurait donc potentiellement doublé.

Cette décision n'était pas surprenante, puisque les sénateurs avaient déjà émis leurs réserves lors de l'audition du ministre de l'Économie le 14 mai 2024 devant la commission spéciale (19)

Nous verrons si, dans les années à venir, le Gouvernement réessaiera de mettre en oeuvre le projet de simplification du bulletin de paie ou non.

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Références :

(1) Article R3243-1 du Code du travail
(2) BOSS - 
Questions-Réponses relatif à la prime de partage de la valeur, 6.7
(3) Cass. soc. 4-12-2024 n°23-14259
(4) BOSS - MNS
(5)
BOSS, mise à jour du 14 novembre 2023 et site de l'Urssaf
(6) Article R3243-4 du Code du travail
(7) Articles R3246-2 du Code du travail, 131-13 (personnes physiques) et 131-41 (personnes morales) du Code pénal
(8) Arrêté du 25 février 2016 fixant les libellés, l'ordre et le regroupement des informations figurant sur le bulletin de paie mentionnées à l'article R3243-2 du Code du travail
(9) Arrêté du 23 décembre 2021 modifiant l'arrêté du 25 février 2016 fixant les libellés, l'ordre et le regroupement des informations figurant sur le bulletin de paie mentionnées à l'article R3243-2 du Code du travail
(10) Arrêté du 31 janvier 2023 modifiant l'arrêté du 25 février 2016 fixant les libellés, l'ordre et le regroupement des informations figurant sur le bulletin de paie mentionnées à l'article R3243-2 du Code du travail
(11) Arrêté du 11 août 2025 modifiant l'arrêté du 31 janvier 2023 modifiant l'arrêté du 25 février 2016 fixant les libellés, l'ordre et le regroupement des informations figurant sur le bulletin de paie mentionnées à l'article R. 3243-2 du code du travail
(12) Article D3243-7 du Code du travail
(13) Article D3243-8 du Code du travail
(14) Article D3171-11 du Code du travail
(15) Article D3171-12 du Code du travail
(16) Article D3171-13 du Code du travail
(17) Articles D3313-9 et D3323-16 du Code du travail
(18) Projet de loi de simplification de la vie économique, dans sa version modifiée enregistrée au Sénat le 28 mai 2024
(19) "Le projet de bulletin de paie simplifié de Bruno Le Maire rencontre ses premiers écueils au Sénat", Public Sénat, 14 mai 2024