Réduction des droits chômage - Fevrier 2023

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Réduction des droits chômage - Fevrier 2023

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Jojola44 Le 04-01-2023 à 10:19

Bonjour,

L'assemblée a voté une diminution de la durée des Droits chômage à partir du 1er février selon la tendance du chômage. Actuellement cela correspondra à une baisse de 25%. J'ai une question vis à vis de ça :

- Cela débute au 1er février 2023. Ma fin de contrat est le 17 janvier, cependant avec la période de carence et mes jours de congés, mes droits débuteront autour du 5 février. Est-ce ma fin de contrat qui compte ou le début de mes droits, ou mon inscription ?

- Dans le cas où je passe dans le nouveau dispositif avec une durée de 18 mois : Je compte demandé l'ARCE/ACRE, vu qu'ils donnent 45% de l'ensemble des droits, ces 45% seront-ils compté sur la nouvelle durée ou pour ce dispositif on reste sur le montant des droits à 24 mois ?

Merci d'avance pour vos réponses.

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Zen Maritime · Answer 1 · Le 04-01-2023 à 10:51

Moderateur

Zen Maritime Le 04-01-2023 à 10:51

+ 1000 messages

Bonjour,

D'après l'expérience que l'on a des réformes précédentes vos droits à l'assurance chômage seront régis par le règlement tel qu'il est en vigueur à date de rupture de votre contrat de travail.

cordialement
zen maritime

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milou27 · Answer 2 · Le 04-01-2023 à 10:59

Moderateur

milou27 Le 04-01-2023 à 10:59

+ 1000 messages

Bonjour

La baisse de la durée d'indemnisation ne concerne que les fins de contrat qui interviennent après le 1er Février

Vous ne serez donc pas concerné par la réforme

Je suppose que l'ARCE sera calculée d'après les droits attibués (avant et après la réforme ) (?)

Aux dernières nouvelles , celle-ci sera rémaniée (!)

Moderateur

Zen Maritime Le 04-01-2023 à 11:12

Bonjour Milou,

A ce que j'ai pu lire (media) il est envisagé en cas de réduction de la durée d'indemnisation que le taux de l'ARCE pourrait être réhaussé, de 45% à je ne sais quel pourcentage, on a avancé 60% dans la presse afin que les créateurs d'entreprise ne soient pas amoindris dans leur capacité d'investissement. Mais techniquement cela ne pourrait prendre effet que bien après l'entrée en vigueur de la réforme...

cordialement
zen maritime

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Moderateur

milou27 Le 04-01-2023 à 17:21

Attendons la suite car la règlementation évolue sans cesse depuis plusieurs mois pour diminuer le cout global du chomage indemnisé

Je me demande bien pourquoi tant de gens veulent se lancer dans la micro- entreprise malgré une grave crise économique prévisible pour 2023

Ils ne savent pas ce qui les attend .

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Moderateur

Zen Maritime Le 04-01-2023 à 17:46

D'après les données que j'ai pu lire (source Unédic*) environ 1/3 des créations d'activité en autoentrepreneuriat se font avec le soutien de l'assurance chômage (soit en cumul ARE+revenu, soit avec l'ARCE).

Je pense qu'il y a plusieurs facteurs attractifs, la perspective de l'indépendance (quand c'est vraiment le cas), le sentiment de gérer librement son temps professionnel, l'exonération partielle de prélèvements sociaux en début d'activité, le non assujettissement à TVA qui simplifie l'administratif (jusqu'à un certain plafond de chiffre d'affaires), le régime micro-fiscal avec abattement forfaitaire pour frais professionnels (au minimum 34% et jusqu'à 70% selon le type d'activité), tout cela avec des formalités simples à la fois de création et de cessation d'activité

* https://www.unedic.org/publications/allocataires-entrepreneurs-comment-lassurance-chomage-soutient-les-creations

cordialement
zen maritime

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Moderateur

milou27 Le 05-01-2023 à 08:03

Je ne suis pas sur que tous les AE se lancent dans l'aventure en toute connaissance de cause ne serait-ce que se faire rapidement une clientèle fidèle

LIEN : https://www.latribune.fr/supplement/comment-remedier-aux-causes-principales-d-echec-des-auto-entreprise-946634.html

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Moderateur

Zen Maritime Le 05-01-2023 à 08:20

C'est vrai, il y a beaucoup de créations d'activités en AE et beaucoup de cessations d'activités, mais ce serait inexact de considérer que toute cessation est un échec.

Il existe une part de ces autoentrepreneuriats qui ne sont que des opportunités ponctuelles, et/ou des expériences menées accessoirement en parallèle d'un emploi salarié (ou d'études pour un étudiant)

Lorsqu'il y a déclaration de cessation cela ne reflète pas forcément un échec car il n'y avait pas forcément l'intention de développer un business, mais parfois juste de saisir une occasion de travail pour son propre compte. Ou alors expérimenter d'en vivre mais jusqu'au constat que les revenus générés sont insuffisants.

De mon point de vue les seuls véritables échecs objectivables sont ceux qui se soldent par un endettement, défauts de paiements et pour finir une conciliation ou liquidation judiciaire.

cordialement
zen maritime

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Zen Maritime · Answer 3 · Le 04-01-2023 à 11:12

Bonjour Milou,

A ce que j'ai pu lire (media) il est envisagé en cas de réduction de la durée d'indemnisation que le taux de l'ARCE pourrait être réhaussé, de 45% à je ne sais quel pourcentage, on a avancé 60% dans la presse afin que les créateurs d'entreprise ne soient pas amoindris dans leur capacité d'investissement. Mais techniquement cela ne pourrait prendre effet que bien après l'entrée en vigueur de la réforme...

cordialement
zen maritime

milou27 · Answer 4 · Le 04-01-2023 à 17:21

Attendons la suite car la règlementation évolue sans cesse depuis plusieurs mois pour diminuer le cout global du chomage indemnisé

Je me demande bien pourquoi tant de gens veulent se lancer dans la micro- entreprise malgré une grave crise économique prévisible pour 2023

Ils ne savent pas ce qui les attend .

Zen Maritime · Answer 5 · Le 04-01-2023 à 17:46

D'après les données que j'ai pu lire (source Unédic*) environ 1/3 des créations d'activité en autoentrepreneuriat se font avec le soutien de l'assurance chômage (soit en cumul ARE+revenu, soit avec l'ARCE).

Je pense qu'il y a plusieurs facteurs attractifs, la perspective de l'indépendance (quand c'est vraiment le cas), le sentiment de gérer librement son temps professionnel, l'exonération partielle de prélèvements sociaux en début d'activité, le non assujettissement à TVA qui simplifie l'administratif (jusqu'à un certain plafond de chiffre d'affaires), le régime micro-fiscal avec abattement forfaitaire pour frais professionnels (au minimum 34% et jusqu'à 70% selon le type d'activité), tout cela avec des formalités simples à la fois de création et de cessation d'activité

* https://www.unedic.org/publications/allocataires-entrepreneurs-comment-lassurance-chomage-soutient-les-creations

cordialement
zen maritime

milou27 · Answer 6 · Le 05-01-2023 à 08:03

Je ne suis pas sur que tous les AE se lancent dans l'aventure en toute connaissance de cause ne serait-ce que se faire rapidement une clientèle fidèle

LIEN : https://www.latribune.fr/supplement/comment-remedier-aux-causes-principales-d-echec-des-auto-entreprise-946634.html

Zen Maritime · Answer 7 · Le 05-01-2023 à 08:20

C'est vrai, il y a beaucoup de créations d'activités en AE et beaucoup de cessations d'activités, mais ce serait inexact de considérer que toute cessation est un échec.

Il existe une part de ces autoentrepreneuriats qui ne sont que des opportunités ponctuelles, et/ou des expériences menées accessoirement en parallèle d'un emploi salarié (ou d'études pour un étudiant)

Lorsqu'il y a déclaration de cessation cela ne reflète pas forcément un échec car il n'y avait pas forcément l'intention de développer un business, mais parfois juste de saisir une occasion de travail pour son propre compte. Ou alors expérimenter d'en vivre mais jusqu'au constat que les revenus générés sont insuffisants.

De mon point de vue les seuls véritables échecs objectivables sont ceux qui se soldent par un endettement, défauts de paiements et pour finir une conciliation ou liquidation judiciaire.

cordialement
zen maritime

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