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Violences conjugales

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Le 15-10-2023 à 10:22

Bonjour, Je suis une femme de 23 ans, j’ai été en couple durant 2 ans et demi avec une femme. Durant TOUTE (et bien avant) notre relation, mon ex consommait des anxiolytiques types LEXOMIL mélangés à une consommation excessive d’alcool par moment. Madame m’a trompé à plusieurs reprises (sous notre toit!!), retournait l’appartement à la moindre contradiction. En avril 2022 nous nous sommes séparées. Étant à ce moment là, entrain de préparer ma soutenance pour mon travail de fin d’études d’infirmière, nous avions trouvé une solution pour que je puisse rester dans notre appartement jusqu’à fin juin. Elle travaillait dans la restauration nous nous croisions que le soir (quand je n’étais pas déjà couchée). Nous faisions bien sûr, chambre à part, ce qui ne l’empêchait pas de venir fouiller dans mes affaires lorsque je n’étais pas à l’appartement Elle avait décidé que sur ses jours de congés (dim,lun&ma) elle retournerait chez ses parents afin de me laisser l’appartement (ma famille habite à plus de 800km!!). Fin mai, un dimanche soir je décide d’inviter un de nos amis en commun chez nous, lorsque mon ex n’était pas présente. Cet ami est depuis ce soir-là mon compagnon. Nous pensions être seuls, comme prévu, sauf qu’à 00h15, quelqu’un tambourine à la porte d’entrée. J’entends mon ex hurler derrière la porte, elle était donc les sans communs de notre immeuble (où nous avions plusieurs voisins), je cours lui ouvrir, ne comprenant pas son comportement (nous ne faisions absolument rien avec mon ami, nous étions simplement dans ma chambre entrain de discuter). Je lui ai donc ouvert la porte, elle est rentrée en me poussant j’ai tout de suite vu dans son regard que qlqch allait mal se passer. Elle est tout de suite aller dans ma chambre, à attraper les affaires de mon ami et les a jeté dans le couloir, ce dernier ne s’est pas énervé, mais moi par contre oui. Je pense que ce soir était un trop plein, je n’avais jamais trop osé rien dire durant notre relation, mais ce soir-là, je voulais juste qu’elle me laisse tranquille. Je me suis donc énervée, elle m’insultait de tout les noms, me menaçait de me faire expulser de l’appartement (je payais autant de loyer/charges qu’elle!!). Elle insultait mon ami qui a préféré sortir dans le couloir, j’ai préparé un tout petit sac d’affaires et je suis partie. Lorsque je suis sortie cette dernière m’a insulté d’une telle manière que je suis sortie de mes gonds et suis rentrée pour lui mettre UNE CLAQUE. puis je suis partie. Alors, mon problème actuellement, mon ex s’est liée avec des personnes qui ont réussi à faire en sorte que sa plainte pour VIOLENCES AGGRAVÉES, m’entraînent à effectuer un stage de 2j pour violences conjugales. Je tiens tout de suite à m’exprimer sur les violences, je ne cautionne absolument pas ça, je ne cherche pas à me défendre en disant que c’était un trop-plein de toute notre relation, je n’ai absolument pas à lever la main sur qui-que ce soit. Cette claque n’a entraîné AUCUN ITT, aucune trace constatée par un médecin, juste un enregistrement vocal effectué par mon ex en cachette ce soir-là. Alors ma question, j’ai reçu ma « condamnation » en mai. Je n’ai toujours pas payé afin d’effectuer le stage car je trouve cela tellement démesuré. Je me tourne donc vers vous, pensez-vous qu’il puisse y avoir un quelconque recours à cette décision ? Je précise tout de même; je suis actuellement infirmière en soins palliatifs, je n’ai jamais été jugé pour quoi que ce soit, je n’ai jamais déposé plainte. (contrairement à mon ex qui a déjà déposé plusieurs plaintes) Je reste disponible pour toutes vos questions /remarques. Je vous remercie d’avance.

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  • Membre

    Le 15-10-2023 à 14:59

      + 1000 messages


    Bonjour,,
    *
    Les violences ne sont pas niées. Avec cette gifle, vous avez commis un délit passible de trois ans de prison et 45 000 euros d'amende. Les sanctions sont de plus en plus lourdes, avec très souvent de la prison avec ou sans sursis.
    *
    La peine est donc très légère, une "simple gifle" pouvant mener des gens en prison sans aménagement pour plusieurs mois. Je suppose qu'il y a eu une ordonnance pénale, c'est trop tard pour faire opposition. 
    *
    Même s'il y avait un recours, il serait difficile d'espérer une sanction plus légère. Faites votre stage et tournez la page, c'est la meilleure chose à faire.
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    + -

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